Au fil du temps
2021
On travaille toujours plus en famille !
Bienvenue François (fils) et Vincent (beau-frère) à la Péquélette !
2020
Arrivée sur le domaine de Cuba et de Razmotte Futurs mère et père d'une grande famille de mouton d'Ouessant ...
2018
Vingt Diou, Mildiou ! L'année qui fait mal …
Mais aussi une année de réflexion sur la place de la vigne sur le domaine, l'organisation de mon travail, la place des animaux de ferme chez nous …
Ca gamberge dur !
2017
Nous plantons la première parcelle de cépages blancs du domaine : Bourboulenc, Clairette, Grenache blanc.
2016
Nous continuons à planter des haies autour des vignes pour augmenter la biodiversité, fournir toujours plus de nectar et de pollen à nos abeilles et renforcer l'identité du domaine et de nos vins.
2015
Nous replantons des arbres fruitiers : abricotiers, grenadiers, pommiers, poiriers, figuiers ...
2011
La Péquélette est officiellement certifiée en agriculture biologique (AB) et Biodynamique (DEMETER).
2010
Arrivée de nouvelles recrues au domaine : Manon et Titan.
Deux affectueux et splendides ânes qui viennent apporter à l'organisme agricole de La Péquélette leur pierre animale.
2007
Rencontre de Jacques MELL et début de la biodynamie sur le domaine.
2006
Quelle émotion de tenir dans ses mains, là devant soi, sa première bouteille, le résultat de 24 mois de travail et d'attente.
Un grand merci à la famille et aux collègues qui m'ont aidé à faire naître cette bouteille là et toutes les autres ...
2005
Naissance de La Péquélette !
C'est la sortie de la cave coopérative, je me lance avec 6 ha de vignes, 250 oliviers et 800 chênes truffiers.
la Péquélette, c'est "la petite" en Provençal.
Je ne sais pas faire le vin, mais j'apprendrai.
Mon objectif est de faire un vin "honnête et franc".
Plantons le décor
L'histoire du domaine remonte loin dans le temps ...
De nombreuses générations se sont succédées sur les terres du Plan de Moye.
Jadis, abricotiers, cerisiers, pêchers et surtout oliviers se partageaient la ferme avec les vignes.
C'était l'époque du travail au cheval, petit à petit remplacé par le tracteur.
Puis mon grand-père, Emile, laissa la ferme à mon père, Claude, et ce sont les chênes truffiers et les vignes qui remplacèrent les cerisiers, les pêchers et les oliviers morts à la suite du gel de l'hiver 1985.
En 1992, c'est mon entrée officielle sur le domaine.
Nous continuons à arracher des abricotiers pour replanter des vignes et des chênes truffiers.
Avec mon installation, nous faisons l'acquisition de nouvelles terres sur lesquelles je plante des oliviers.